Une escalade des massacres, appel à stopper Netanyahou !

Dans son intervention poignante intitulée Proche-Orient : Stop aux massacres !, Mathilde Panot, députée de la 10e circonscription du Val-de-Marne et présidente du groupe parlementaire La France Insoumise, dénonce avec fermeté les massacres orchestrés par Israël sous la direction de Benyamin Netanyahou. Ce nouvel épisode de son Panorama, publié sur YouTube, alerte sur la situation désespérante qui prévaut au Liban et dans la bande de Gaza, tout en soulignant la responsabilité immense de l’extrême droite israélienne dans cette escalade de violence.

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Table des matières

Gaza : un génocide en cours

Mathilde Panot évoque sans détour le génocide en cours à Gaza. Elle rappelle que la Cour internationale de justice avait déjà émis des recommandations dès janvier 2023 pour prévenir ce massacre, mais elles ont été ignorées par Netanyahou. Les chiffres sont alarmants : des milliers de Palestiniens, dont une majorité de civils, ont été tués sous les bombes israéliennes. Ces attaques visent indistinctement des zones résidentielles, des hôpitaux et même des écoles, mettant en péril la vie de milliers d’enfants.

L’utilisation d’armes destructrices sur des cibles civiles est, selon l’ONU et des organisations de défense des droits de l’Homme, une violation flagrante du droit international humanitaire. Pourtant, Israël continue ses actions avec une impunité totale. Panot dénonce non seulement l’indifférence mais également la complicité des grandes puissances occidentales, notamment les États-Unis, qui fournissent à Israël des moyens militaires.

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Le Liban : une guerre sous prétexte de sécurité

En parallèle, les bombardements massifs sur le Liban par l’armée israélienne soulèvent également des inquiétudes. D’après Panot, il s’agit d’une attaque non seulement contre le Hezbollah, mais contre toute la population libanaise, causant déjà un million de déplacés et des centaines de morts civils. Israël justifie ces frappes sous couvert de lutte antiterroriste, en prétendant mener une « opération limitée ». Mathilde Panot rappelle qu’il s’agit en réalité d’une campagne de destruction à grande échelle visant à redéfinir les frontières du Liban, bafouant ainsi sa souveraineté.

Elle dénonce également la propagande qui entoure ces actions, en comparant les déclarations israéliennes à celles de Vladimir Poutine lors de l’invasion de l’Ukraine, qui avaient également été qualifiées d’« opération spéciale ». Selon Panot, cette rhétorique sert à masquer l’ampleur des crimes de guerre commis.

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Appel à la France et à la communauté internationale

La députée appelle à des actions concrètes de la part de la France, un pays historiquement lié au Liban. Elle regrette l’absence de réponse ferme de la diplomatie française face aux attaques contre ce pays allié, ainsi que le silence du gouvernement face aux massacres à Gaza. Panot critique vivement la gestion du ministre des Affaires étrangères, dénonçant son incapacité à condamner fermement les crimes israéliens et à engager des actions pour stopper l’agression israélienne.

Sanctions immédiates contre Israël

Pour Mathilde Panot, la solution est claire : il faut arrêter Netanyahou. Cela passe par l’imposition de sanctions immédiates contre Israël, un embargo sur les armes et la suspension de l’accord d’association entre l’Union européenne et Israël. Elle appelle également à une reconnaissance immédiate de l’État de Palestine, affirmant que c’est une étape cruciale pour mettre fin au cycle de violence.

Panot met en garde contre la normalisation des actions israéliennes et souligne l’urgence de réagir avant que la situation ne s’envenime davantage. Elle dénonce également l’hypocrisie des discours qui légitiment l’agression israélienne sous prétexte de sécurité, tout en ignorant la souffrance et la mort de milliers de Palestiniens et Libanais.

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Une voix pour la paix

Face à cette situation tragique, Mathilde Panot incarne une voix d’espoir et de résistance. Elle appelle la communauté internationale, et en particulier la France, à se mobiliser pour faire respecter le droit international et à stopper l’agression israélienne. Sa prise de parole résonne comme un appel à la solidarité avec les peuples de Gaza et du Liban, victimes d’un conflit imposé par une politique de guerre sans fin.