Les leaders du Quad (États-Unis, Inde, Japon, Australie) ont émis un communiqué commun appelant à une solution à deux États pour le conflit Israël-Gaza, tout en condamnant les attaques du 7 octobre. Cependant, leur silence face au massacre en cours à Gaza, où plus de 15 000 enfants ont déjà perdu la vie, est profondément préoccupant. Alors que Gaza est plongée dans une crise humanitaire sans précédent, ces dirigeants se contentent de condamnations sans réelle action concrète pour mettre fin à la souffrance des Palestiniens. Leur responsabilité dans cette inaction est immense, car ils possèdent les moyens d’exercer une influence réelle pour arrêter ce bain de sang.
La crise humanitaire à Gaza : silence assourdissant des puissances mondiales
Dans ce contexte, des milliers de familles vivent sous les bombes, privées de nourriture, d’eau et de soins médicaux essentiels. Les hôpitaux sont débordés, manquent de matériel et peinent à sauver des vies dans des conditions infernales. Les enfants, les plus vulnérables, paient un prix insupportable. Le communiqué du Quad mentionne bien la nécessité de protéger les civils et d’éviter l’escalade, mais où est la pression pour stopper les bombardements incessants sur Gaza ? Les appels à la libération des otages et à la fin des attaques sont certes nécessaires, mais cela reste insuffisant face à l’ampleur des atrocités commises.
Une responsabilité morale pour les leaders du Quad
Il est essentiel que les grandes puissances agissent de manière plus ferme. Leur engagement pour une solution à deux États doit aller au-delà des déclarations de principe. Elles ont la responsabilité morale d’intervenir pour protéger les vies civiles, de cesser de fermer les yeux sur les souffrances de la population gazaouie et d’exiger des actions concrètes pour la paix. Le silence ou l’inaction face à ces massacres les rend complices de cette tragédie humanitaire.
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